KIYO soutient les organisations qui travaillent pour ou avec les enfants et les jeunes dans la coopération au développement, le monde du voyage et le secteur de l’enseignement ou de la jeunesse pour que ceux-ci contribuent encore plus à la réalisation des droits de l’enfant à travers leurs activités.
De nombreuses organisations de coopération au développement, du monde du voyage et du secteur de l’enseignement ou de la jeunesse travaillent pour ou avec les enfants et les jeunes. Il n’est pas rare qu’ils entrent en contact direct avec ce groupe, ce qui comporte à la fois des opportunités et des risques pour leur bien-être et la réalisation de leurs droits.
KIYO aide ces organisations à voir leur fonctionnement actuel d’un nouveau point de vue et à initier une réflexion à ce sujet. Le cadre des droits de l’enfant est utilisé pour cela. Ensemble, nous travaillons pour créer une culture des droits de l’enfant au sein de leur organisation et de leurs activités. Nous considérons l’impact direct et indirect de leur effet sur le bien-être des enfants et des jeunes. KIYO agit en tant que facilitateur en offrant un soutien échelonné et intensif afin de parvenir à un ancrage permanent des droits de l’enfant dans l’organisation.
Les intérêts des enfants et des jeunes sont au cœur de cela : comment éviter de porter atteinte aux droits des enfants et des jeunes, et comment les acteurs peuvent-ils contribuer à la réalisation de leurs droits ? Par exemple, sous le prisme des droits de l’enfant, nous analysons si la culture et les activités d’une organisation contribuent à la participation effective des enfants et des jeunes et si une réflexion suffisante a été accordée à leur protection. Ensemble, nous cherchons des solutions pour surmonter certains obstacles ou défis et contribuer ainsi à la réalisation des droits des enfants.
Citations:
« KIYO nous a appris à toujours faire l’exercice de partir des droits de l’enfant dans toutes les décisions ou actions que nous avons prises ou mises en place avec les équipes au Sénégal. Ce que nous voulions était-il vraiment dans l’intérêt supérieur de l’enfant? Leur avons-nous demandé? Qu’en ont-ils pensé eux-mêmes? Que voulaient-ils eux-mêmes? S’il y a une chose que nous avons apprise dans ce processus, c’est: demandez-vous toujours ce que veut l’enfant et ce qu’il en ressent. » – Afractie, organisation du 4e pilier (initiative populaire de solidarité internationale)
« L’analyse de nos projets du point de vue des droits de l’enfant m’a fait réaliser que la participation des enfants et des jeunes représente plus que leur présence et qu’il faut écouter ce qu’ils ont à dire. Nous devons en tenir compte – toujours. C’est pourquoi nous devons continuer à sensibiliser nos partenaires locaux à l’importance des droits de l’enfant. » – Représentant pays Solidagro – Sénégal
« KIYO a contribué au cadre d’inspiration sur « les droits des enfants et les stages dans le Sud » que nous avons développé avec VLOHRA chez UCOS. L’expertise de KIYO dans le travail à partir d’une approche des droits de l’enfant avec des partenaires du Sud a apporté une énorme valeur ajoutée à ce texte. Nous sommes impatients de poursuivre cette collaboration dans les années à venir pour rendre la mobilité internationale des étudiants de l’enseignement supérieur respectueuse des droits de l’enfant. » – UCOS (Centre universitaire de coopération au développement)